La Croix de Quinsonas et le Bec du Corbeau par la Bastille

Courte sortie improvisée sur les hauteurs de la rive droite de Grenoble, où le contraste entre les pentes de la Bastille très fréquentés et le promontoire sauvage du Bec du Corbeau est saisissant.

Le Charmant Som (1867m) et la Balme de l'Air (1703m) depuis le Col de Porte

Randonnée hivernale des plus classiques qui a pour mérite, de par sa position centrale dans le massif de la Chartreuse, d'offrir d'incroyables panoramas.

Les Civières, la Montagne du Mulet et le Gourlu en traversée

Randonnée aux portes de l'agglomération grenobloise, reliant Eybens à Gières et partant à la découverte de trois belvédères, modestes en altitude et néanmoins surprenants.

Le Plateau du Peuil par Malhivert

Cette randonnée part notamment à la découverte de la Tourbière du Peuil,  l'une des rares zones humides du massif du Vercors.  Un bon parking permet une approche très courte, mais il est bien entendu hors de question ici de céder à cette facilité en foulant les sentiers à l'abandon ou confidentiels du flanc boisé ceinturant le plateau.

Le Ranc des Agnelons (1974m), en traversée de Villard-de-Lans à Prélenfrey

Cette esthétique ligne de crête située dans le prolongement des célèbres Arêtes du Gerbier peut très bien être parcourue lors d'un hiver sans neige, comme ce fut le cas en fin d'année 2016. Même si l'on reste dans le domaine de la randonnée alpine facile, elle demande toutefois par endroits d'avoir le pied sûr.

Côte Charvet, sur les hauteurs de Mont-Saint-Martin

Le but initial de cette randonnée était de redécouvrir le méconnu Pas du Bœuf, situé au-dessus du charmant village de Mont-Saint-Martin. Mais la présence d'une couche de neige suffisamment conséquente a été dissuasive. Il n'empêche que Côte Charvet est déjà un objectif honorable en partant de la vallée.

Le Rocher du Bret (1359m) par le Parchet

Si la montée par le chemin du col de Vence pour le Mont Saint-Eynard est une véritable autoroute pour randonneurs les dimanches ensoleillés, ce n'est franchement pas le cas avec la variante présentée ici. Il faut dire qu'elle se mérite, surtout la dernière partie avant de retrouver l'itinéraire classique, mettant à mal les mollets les moins entrainés. Le passage final pour le sommet plaira aux amateurs de vires exposés, suivi d'une arrivée en apothéose grâce à un panorama époustouflant. Enfin, le retour à la belle et vaste Prairie du Parchet emprunte un sentier parfois raviné et bien connu des VTTistes locaux.